L’aiguilleur du ciel ou contrôleur de trafic aérien veille à ce que tous les avions qui survolent l’espace aérien puissent circuler en toute fluidité sans risque de collision. Le métier scientifique d’aiguilleur du ciel n’admet donc aucun droit à l’erreur !
Découvrez l’essentiel à savoir sur le métier de l’aiguilleur du ciel, ses missions, les qualités requises, les formations nécessaires, le niveau de salaire et les évolutions possibles, sur cette page !
Depuis sa montée à bord de l’avion, lors du décollage, pendant le vol et jusqu’à l’atterrissage, le pilote est guidé par le contrôleur de trafic aérien. Également dénommé « aiguilleur du ciel », ce professionnel scientifique est chargé d’assurer la sécurité d’un gigantesque réseau de trafic aérien.
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Celui-ci est tenu de surveiller le trafic aérien et de s’assurer que les vols se déroulent en toute sécurité. Il supervise le trafic d’un certain nombre d’avions en plein vol et donne des autorisations de survol d’un certain nombre d’espaces aériens dont il a la charge.
Au sommet de la tour de contrôle, c’est lui qui ordonne les chassés-croisés des aéronefs au moment où ces appareils doivent décoller. De même, au moment d’atterrir, chaque avion demande son autorisation pour savoir sur quelle piste libre il doit atterrir. L’aiguilleur du ciel ou gestionnaire de trafic aérien se porte garant du trafic aérien. Ce métier n’admet aucun droit à l’erreur !
L’aiguilleur du ciel ou contrôleur de trafic aérien joue un rôle clé dans la gestion, la surveillance et le contrôle de la navigation aérienne. Ce professionnel travaille souvent en duo, son binôme se charge d’administrer les procédures de vol. Quant à lui, il se charge de surveiller les appareils en plein vol.
L’aiguilleur du ciel est un professionnel polyvalent et fortement apte à gérer plusieurs tâches à haute responsabilité. Son principal rôle consiste à assurer la sécurité du trafic aérien en faisant en sorte que les avions circulent en toute fluidité sur l’espace aérien dont il est responsable. Le tout sans risques de collisions et en tenant également compte des conditions météorologiques.
Compte tenu de l’importance de son rôle dans le domaine de l’aviation, l’aiguilleur du ciel est amené à collaborer avec différents professionnels du secteur en l’occurrence :
D’une manière générale, le contrôleur de trafic aérien ou aiguilleur du ciel est chargé de :
Le métier d’aiguilleur n’est pas fait pour tout le monde, car il exige des prérequis spécifiques. Notons parmi les qualités les plus indispensables pour devenir contrôleur de trafic aérien :
La formation pour devenir aiguilleur du ciel est seulement accessible par voie de concours et la sélection est très rude. Une fois admis, l’élève contrôleur aérien doit suivre des formations spécifiques auprès de l’ENAC (Ecole Nationale de l’Aviation Civile). Pour postuler, vous devez au moins :
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À l’issue de trois années de formation auprès de l’ENAC, vous obtiendrez un diplôme d’ingénieur du contrôle de la navigation aérienne.
En fonction de ses compétences, de ses aptitudes et de son niveau d’expérience, un contrôleur de trafic aérien ou aiguilleur du ciel peut percevoir entre 2 000 et 4 000 € net par mois.
L’aiguilleur du ciel intègre le monde professionnel de l’aviation par voie de stage dès son admission à l’ENAC. La formation comprenant une phase théorique et pratique. Durant la phase pratique, il travaille déjà en tant qu’élève stagiaire et perçoit des rémunérations.
Après l’obtention de son diplôme, il doit travailler en tant qu’aiguilleur. Par la suite, il pourra évoluer vers le poste de superviseur ou de manager du tour de contrôle de l’aéroport dans lequel il travaille.
Diplômé d’un BTS technico-commercial ainsi que d’une licence pro marketing et commerce sur internet, je suis passionné par le web, le commerce, la vente et l’immobilier.